C'est avec le coeur lourd que je poste la conclusion de Tranches de vide - Continuum, certains d'entre vous en connaissent la raison, les autres comprendront mieux à la lumière d'un prochain épisode. Je l'ai terminé hier, mais j'ai hésité avant de le poster, toujours pour cette même raison évoqué plus haut. C'est grâce au soutien de certains d'entre vous, que je remercie grandement, que j'ai trouvé la motivation nécessaire pour franchir le pas. Ironie du sort, c'est un chapitre de ma vie qui prend fin alors que je finalisais cet épisode. Mais la vie continue, je ne vais pas lâcher mes crayons, comme l'a dit ce monsieur (Pas forcément en ces termes, mais grosso-modo ) c'est dans l'adversité qu'on distingue l'artiste du commun des alcooliques. Sans plus de cérémoniel fielleux et larmoyant bon pour les pucelles obèses, je vous dévoile la véritable conclusion de Tranches de vide - Continuum, et vous révèle le pourquoi du comment de cette histoire rocambolesque. Je vous invite bien entendu, au cas où vous trouveriez normal qu'une BD commence à la planche n°35 (laissez moi vous dire que si vous êtes dans cette situation, vous n'êtes pas une flèche), de vous tourner vers les anciens épisodes, eux mêmes nécessitant la lecture de la quasi intégralité des "Tranches de vide", réparties en trois catégories du même nom, classée par saisons (3 à l'heure actuelle) et dont les liens se trouvent sur la droite, en bas du troisième module en partant du haut, module intitulé sobrement "Stratégie". Je viens de me rendre compte que j'aurais perdu moins de temps à les linker qu'à vous expliquer où les trouver. Bref.
Haha. Vous ne l'aviez pas vu venir celle là ? Hein ?
Je dédie cet épisode à mes amis et parents proches, ainsi qu'à mes camarades bloggeurs et autres contacts, bref, ceux et celles qui, par un petit mot comme de longs échanges, par leur présence ou l'expression du regret de leur absence, m'aident à surmonter ces temps incertains.
Vous roxez vos races bande d'enfoirés.